Les débats et discours des trois campagnes électorales à venir démarrent sur les chapeaux de roues.
Le contexte social, sanitaire et environnemental dégèle et déconfine les discours les plus nauséabonds.
Les chroniqueurs porteurs et faiseurs de haines spécialistes de tous sujets inondent les plateaux, pour porter leurs messages de divisions. De trop nombreux médias de l’audiovisuel et de radio sont aujourd’hui infectés par les théories du grand remplacement, du complotisme et de velléités guerrières.
L’émotion est mitonnée par des chef.fe.s de partis politiques, de groupuscules identitaires, de souverainistes sur l’ensemble des moyens de communication et de propagande en appelant à exercer la loi du talion.
Désormais tous les univers, professionnels, étudiants et universitaires, familiaux, associatifs, politiques et syndicaux sont touchés.
Les différents actes de violences commis ces derniers mois à l’encontre d’associations, de commerces, de militant.e.s lors de manifestation, de représentant.e.s syndicaux, de sans papiers en sont les conséquences logiques.
Nul.le n’ignore qu’une forte proportion des enfants, des adolescent.e.s, des jeunes majeur.e.s et de leurs familles accompagné.e.s par les professionnel.le.s de la PJJ font partie des désigné.e.s coupables d’une grande partie des maux de notre société.
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