A l’instar de nombreux corps de métier du secteur privé, du secteur public et du secteur libéral, les personnels de la PJJ se mobilisent pour dénoncer la kyrielle de réformes visant à réduire les droits de chacun.e.s ainsi que ceux des personnes bénéficiaires des services publics.
Elles et ils s’opposent notamment à la réforme de la fonction publique définissant les nouvelles modalités de mobilité des fonctionnaires en supprimant les CAP et le barème, au projet de réforme des retraites, à la loi sur le chômage, aux lois travail, à la loi de programmation de la justice, au projet de code de la justice pénale des mineur.e.s et à l’abrogation de l’ordonnance de 1945 par les personnels de la DPJJ.
Bien que le texte n’oblige ni le Ministère de la Justice, ni la DPJJ à supprimer les critères de cotations pour la mobilité (barème à l’ancienneté, rapprochement familial), l’Administration a décidé d’aller dans ce sens pour une grande partie des personnels administratifs, les professeur.e.s techniques, les psychologues, les directeur.trice.s et les assistant.e.s de service social. Dans le même temps, elle maintient pour une année les critères de cotations pour les éducateur.trice.s et les CPIP uniquement pour des questions de retards logistiques. Les ASS sont donc parmi les premières victimes de cette décision arbitraire et inéquitable.
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