En cette Journée Internationale des Droits de l’Enfants, il nous semble primordiale de rappeler combien la situation des mineurs est fragilisée au regard du contexte actuel. Que ce soit sur l’hexagone ou le territoire polynésien, la situation des adolescents nécessite de nous recentrer sur nos missions et la prise en charge de leurs difficultés. Or, il est à constater que les préoccupations actuelles de notre service sont davantage tournées vers des aspects, juridiques, budgétaires et administratifs, empêchant ou retardant le travail éducatif.

Le SNPES-PJJ/FSU s’inquiète et nous restons vigilant quant à la prise en charge des mineurs, cœur de notre métier.

Dans un cadre budgétaire plus que contraint, nous nous félicitons du renouvellement des contrats pour les agents et du poste supplémentaire pour le milieu ouvert. Cependant, la période nous paraît très incertaine générant des tensions dans les équipes, notamment au regard de l’activité croissante.
Le SNPES-PJJ/FSU veillera à ce que notre territoire ultramarin ne soit pas « oublié ».