Depuis plusieurs mois, le SNPES-PJJ-FSU78 est alerté de difficultés récurrentes dans l’accomplissement des missions de la Protection Judiciaire de la Jeunesse auprès des jeunes incarcéré.es, que ces professionnel.les exercent en milieu ouvert ou au sein du service éducatif de l’EPM.
Pour rappel, ces établissements ont été créés par la loi Perben 1 du 9 septembre 2002, six ont ouvert au cours des années 2007 et 2008. Leur objectif affiché était d’améliorer les conditions de détention des jeunes incarcérés, notamment grâce à la collaboration de quatre administrations : l’administration pénitentiaire (AP), la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), des interventions de l’éducation nationale (EN) et des unités sanitaires (UCSA).