Les dernières déclarations de la ministre de la Justice, de la DPJJ et la présentation du budget 2019 confirment les nouvelles orientations de la PJJ : des moyens humains constants pour la prise en charge des jeunes et un renforcement de l’enfermement afin de répondre à « l’exigence de sécurité exprimée par les citoyen.ne.s ». Sorti de ce dogme, pas de salut et tout cela à la sauce « pragmatique » si chère au président Macron.

Au titre des emplois, la DPJJ annonce pour 2019 la création de 51 postes dont 34 destinés à l’ouverture de 2 centres fermés du service public (1 à Bergerac et 1 dans le Doubs) et 17 à la « pluridisciplinarité ». Une fois de plus, nous dénonçons une politique qui affecte l’essentiel des nouveaux moyens vers les lieux d’enfermement.

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