- Initiatives militantes

Nous vous transmettons notre tract qui récapitule nos revendications concernant les mobilités à la PJJ et les éléments essentiels de la circulaire de mobilité pour les corps spécifiques (éducs, CSE, PT, Cadres éducatif.ves) parue le 13 mars 2023.
Comme l'ensemble des organisations syndicales, nous serons reçus par l'administration centrale pour porter les situations individuelles qui demandent une attention particulière dans le cadre de la préparation des commissions d'arbitrage.
Cette audience se (...)

Le SNPES-PJJ/FSU exprime son soutien aux professionnel.le.s du CEF de Brignoles confronté.e.s aux difficultés récurrentes en matière de gestion des personnels et aux dysfonctionnements de leur service.
Notre organisation syndicale dénonce depuis des années les impasses de la prise en charge des jeunes accompagné.e.s en centre fermé. Depuis des années, les difficultés s'accumulent au sein à Brignoles, jusqu'au point de non-retour actuel. La quasi-totalité de l'équipe étant en arrêt maladie.
Au lieu (...)

" La FSU met à disposition ce vade-mecum complet de l'action sociale interministérielle réalisé et mis à jour par le groupe fédéral Action Sociale et ses président-es de SRIAS. Il présente et détaille toutes les prestations d'action sociale interministérielles dans la Fonction publique d'État avec les derniers taux actualisés.
Depuis quelques années, plusieurs prestations ont sensiblement progressé : Chèque-Vacances, Aide à l'Installation des Personnels (AIP), Aide au Maintien à Domicile (AMD), prestation (...)

Déclaration préliminaire du SNPES-PJJ/FSU à la Commission Administrative Paritaire du 30 mars 2023 compétente à l'égard des corps de psychologue, d'assistant.e de service social, d'éducateur.rice de la protection judiciaire de la jeunesse du ministère de la justice, de professeur.e technique de la protection judiciaire de la jeunesse et de chef.fe de service éducatif de la protection judiciaire de la jeunesse (n° 3)
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La brutalité concomitante de la réponse d'État à la poursuite du mouvement des retraites et à la mobilisation de Sainte-Soline est en train de marquer au fer rouge l'histoire du pays. Elle appelle aujourd'hui à faire front ensemble.
Face à l'inaction climatique du gouvernement, à son soutien intangible à des lobbys industriels écocidaires et à l'aggravation flagrante de la crise écologique, le mouvement contre les méga-bassines a, ces derniers mois, offert une prise. Si le peuple de l'eau, plus nombreux (...)

À l'appel de l'intersyndicale ce sont plus de deux millions de travailleuses et travailleurs, jeunes et retraités qui se sont mis en grève et ont manifesté. Le monde du travail s'est une nouvelle fois mobilisé dans toute la France de façon massive et déterminée, pour le retrait de la réforme des retraites. La jeunesse a encore une fois été très présente dans les mobilisations.
Après deux mois d'un mouvement social exemplaire et inédit depuis 50 ans, très largement soutenu par la population, et un parcours (...)

Le Vendredi 31 Mars 2023
De 10 heures à 12 heures puis de 13 heures 30 à 16 heures 30
A la Maison de l'Avocat 9 rue Lamartine à CLERMONT-FERRAND (63000)
PROGRAMME
10 heures/12 heures :
Le Code de justice pénale des mineurs : Bilan et perspectives- Présentation à trois voix (un éducateur, un magistrat, un avocat)
Débats/questions
13 heures 30/16 heures 30 :
Table ronde autour de la question de la spécificité de la prise en charge des mineurs (présentation par un psychologue)
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Au refus d'entendre la population (70% est contre la réforme),
Au refus d'entendre le monde du travail (94% des actifs et actives sont contre la réforme),
Au mépris de l'assemblée nationale par l'utilisation du 49.3 (80% des français sont contre), Emmanuel Macron a ajouté la provocation d'une interview télévisée hors sol d'un président en rupture avec son peuple ! Plus il renonce à écouter, plus la crise s'approfondit.
L'intersyndicale nationale appelle donc à une nouvelle journée de grève et de (...)

Au lendemain d'une mobilisation sans précédent, le gouvernement campe toujours sur ses positions et pratique la politique du mépris et du passage en force. Comment, dans ce contexte, où l'absence totale de respect vis-à-vis des salarié(e)s et de leurs organisations syndicales, participer à un « dialogue social » comme si de rien n'était.
Pour notre part, il est inenvisageable de faire comme si de rien n'était. Au quotidien, dans les services nous subissons les « 49-3 » de l'administration que ce soit : (...)