Dans un contexte social altéré où les premières décisions prises par le pouvoir exécutif visent à favoriser les plus aisé.e.s au détriment des salarié.e.s et des personnes les plus en difficultés, la FSU Justice dénonce les ordonnances prises pour réformer le code du travail, la baisse des aides personnalisées au logement ou encore la fin de l’impôt solidarité sur la fortune.

Au plan des libertés publiques et individuelles, ce mois de novembre a vu la fin de l’état d’urgence remplacée par une nouvelle loi anti-terroriste. Cette législation renforce le pouvoir du ministère de l’Intérieur – et de ses préfets – au détriment des garanties apportées par l’autorité judiciaire. Un « état d’urgence permanent » est aujourd’hui institué, faisant ainsi de l’exception une loi applicable à l’ensemble de la population de ce pays et semblant ignorer qu’un arsenal pénal antiterroriste déjà largement

dérogatoire existe déjà.

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