La Protection Judiciaire de la Jeunesse craque de tous côtés depuis deux ans, date de la mise en place du Code de la Justice Pénale des Mineurs : accélération des procédures, multiplication des audiences et des écrits, pénurie de places d’hébergements, absence de pluridisciplinarité dans de nombreuses Unités Éducatives de Milieu Ouvert empêchant une investigation de qualité… Tout cela sans moyen supplémentaire, malgré les alertes des syndicats.
Cette année, le Gouvernement Attal/Le Maire/ Dupont-Moretti lui a porté le coup de grâce et cela, malgré une volonté politique affichée de mieux s’occuper le la jeunesse, notamment celle qui est la plus en difficulté (jeunes suivis par l’ASE et/ou la PJJ). Mais il est vrai que nous étions en année électorale…
Motion de soutien du Barreau de Blois à la mobilisation PJJ du 19 septembre