Le budget de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), déjà raboté en février, n’avait pas anticipé les primes des JO de ses agents en Île-de-France, sur le pont pour l’événement.
Résultat, c’est le personnel qui trinque avec une coupe drastique dans les effectifs de près de 500 contractuels au niveau national. La Loire n’est pas épargnée avec neuf postes supprimés, d’après les syndicats : « Une véritable catastrophe sociale s’annonce ».