Depuis des mois, plusieurs syndicats et la première fédération des parents d’élèves (FCPE) alertent sur les conséquences de la réforme du bac et plus particulièrement sur les épreuves E3C (histoire et géographie, langues vivantes…) qui doivent être organisées localement à partir d’une banque de données, à trois reprises : au second et dernier trimestre pour les élèves de 1ère générale et technologique et au premier trimestre, lors de leur passage en classe de terminale. Les premières épreuves ont lieu cette semaine dans une cacophonie généralisée qui est loin de mettre les élèves en conditions sereines au regard des enjeux : les notes obtenues compteront à hauteur de 30 % de la note finale du bac.

Dans ce contexte, des lycéen.ne.s, au côté des professeur.e.s, se mobilisent pour dénoncer cette réforme, et certain.e.s rejoignent ainsi le mouvement social actuel contre le projet de réforme des retraites.

Leur mobilisation est légitime. Pourtant, en face, les réponses sont bien souvent disproportionnées et inadmissibles, qu’il s’agisse d’autoritarisme institutionnel ou de répressions policières.

LIRE LA SUITE…http://snpespjj.fsu.fr/wp-content/spip/snpespjj/IMG/pdf/stop…